Le rôle d’un consultant consiste à intervenir auprès des organisations ou bien des entreprises afin d’y analyser et résoudre certains problèmes ponctuels.
L’importance, comme le souligne Olivier Zara est déjà de bien faire la différence entre un problème compliqué ou complexe. Car en fonction on ne demandera pas les mêmes compétences au cabinet de conseil sollicité et il n’utilisera pas les mêmes techniques.
Dans l’exemple cité en objet, on oublie trop souvent (surtout dans le secteur public d’Etat) que certains consultants peuvent être amenés à “entretenir” la dépendance de leur client pour pouvoir continuer à alimenter leur chiffre d’affaires.
C’est aussi pour cela que mon approche vise à faire monter en puissance la compétence d’un client (comme un entraineur sportif le fait avec ses athlètes).
Elle participe à l’autonomie et n’obère rien du besoin, souvent ponctuel, de recourir à nouveau à un consultant sur certains dossiers où le temps, ou la compétence fait défaut en interne à l’organisation.
On aide à distinguer le cas complexe (qui nécessite beaucoup d’expertise en intelligence collective) du cas compliqué (qui demande de savoir comment s’y prendre), on essaye d’identifier la cause originelle pour ne pas mettre des pansements sur des jambes de bois, on forme de temps en temps, on propose des pistes et on accompagne souvent dans la réalisation d’un plan d’actions.
Enfin on fait un bilan pour voir le chemin parcouru et on fait conscientiser sur les forces en présence et celles acquises pour réussir mieux demain.
Telle est ma philosophie et je sais pourquoi je veux rester un “petit” cabinet de conseil 😉
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